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Après la publication de 2 ouvrages sur la vallée du Lot Sur le Lot, au temps de sa splendeur (en haute vallée) et Au bord du Lot, Pierre Poujol vous convie à la découverte de son septième livre consacré à la ville de Decazeville et son bassin houiller, terre d'immigration de nombreux cantaliens au XIXème siècle. Vous pouvez l'obtenir à un prix avantageux en souscrivant avant le 1er juin auprès de l"auteur.
Pierre Poujol se présente comme enfant de la Belle-Vallée du Lot où sa famille est installée, implantée, dit-il, depuis des siècles et des siècles. Des liens très forts le lient spécialement à Livinhac-le-Haut, mais rien de ce qui concerne la Belle-Vallée et le Bassin houiller ne lui est indifférent. Ses grands-pères, père et oncles travaillaient à la mine.
Les hasards de l'existence et du travail l'ont conduit dans la Région parisienne, puis à Bordeaux. Son père lui avait dit: « Ne sois pas mineur ! », de toute façon, cet avertissement en forme de commandement n'avait aucune chance d'être contredit : il avait vingt ans, en 1963, moment où depuis longtemps déjà, les mines étaient condamnées.
Avec ce nouveau livre, Pierre Poujol fait revivre les débuts et le prolongement de l'aventure que fut la mise en œuvre de l'industrie minière et sidérurgique, dans le bassin houiller d'Aubin-Decazeville.
On découvre, avec l'auteur, des personnalités attachantes, d'autres beaucoup plus contestables, mais toutes, depuis le duc Decazes jusqu'au financier-ministre-administrateur Léon Say, en passant par François Cabrol, Declerck, Panassié, Alfred Pierrot Deseilligny, Jules Cayrade, Alexandre Bos et plus tard son fils Louis, Gastambide, Emile Nègre ...jusqu'à Paul Ramadier, toutes ont forgé non seulement le destin d'une ville minière, mais aussi sa force et son obstination à survivre et à prospérer aussitôt que les conditions s'avèrent plus favorables.
Combien de fois l'a-t-on cru perdue ?
« Decazeville est riche d'une histoire mouvementée, faite de hauts et de bas, de moments de sérénité et d'autres d'angoisse. De grands hommes l'ont accompagnée, et avec beaucoup d'autres, l'ont bâtie. Ville toujours prête au combat pour son maintien, hargneuse avec ceux qui ont voulu la transformer en ville crève-misère, reconnaissante envers ceux qui savent apprécier son mérite, Decazeville, sans s'en rendre compte est devenue, en son temps, un symbole, un de ces points d'ancrage du mouvement social.
Personne ne peut être indifférent à son histoire, et surtout pas ses enfants, decazevillois cœurs fidèles. »
Bulletin de souscription
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Yvette Souquières fait partie des habitués des Archives départementales. Le matin, en toute saison, elle y explore ce qui peut se trouver de papiers anciens sur Marcolès et le canton de Saint-Mamet. Après avoir commencé par la généalogie de sa famille, Mme Souquières a publié une étude complète sur les moulins de Marcolès et une rétrospective du tragique épisode de L’Enseigne.
Le présent ouvrage est plus guilleret, puisque l’on y trouve les moyens de transport des Marcolésiens de la première moitié du XXe siècle : du landau au corbillard, en passant par la pétrolette et l’automobile, à tous les âges de la vie.
Le public sera reconnaissant à ceux des habitants de Marcolès qui ont accepté de prêter leurs photographies familiales, que l’auteur a soigneusement sélectionnées, numérisées, légendées et datées. Grâce à son travail de collecte et de valorisation du patrimoine commun, ce sont des figures naguère familières qui renaissent, dans le soleil des photographies estivales.
Les plus jeunes lecteurs s’étonneront du chemin parcouru depuis les Trente glorieuses, dans le domaine des transports comme dans tant d’autres. Ils auront du mal à imaginer les morts des années 1950 partant au cimetière dans le corbillard à cheval. Mais tous noteront que les véhicules continuent d’entretenir avec l’homme une relation particulière : fierté de Maurice dans sa poussette, ivresse de Raymond dans sa voiture de course (même si la calade doit secouer un peu le jeune conducteur), contentement de Germain avec son premier vélo au jour de la communion solennelle, satisfaction de Raymond sur son premier vélo de course, sourire séducteur de Marcel sur sa Vespa, fierté d’Urbain posant derrière sa magnifique pétrolette, ou de Lucette dans la jeep flambant neuve.
Car c’est encore plus vrai avec les automobiles : on pose volontiers dans ou devant la traction, l’aronde, la 201, la dauphine, l’autocar de la noce et même la 2 ou la 4 CV. La voiture fait partie de la famille, et c’est dans une voiture que l’on fait son dernier voyage. Même le chien Bobi est fier d’être promené en charrette !....
Extrait de la Préface d’Edouard Bouyé, directeur des AD Cantal
Format 21 cm x 14,8 cm, 94 pages, couverture cartonnée 300 grammes, dos carré collé.
Pour commander ce livre
Yvette Souquières a déjà publié le fruit de ses recherches sur les Moulins de Marcolès avec son frère Christian Souquières et Marcel Yves Croute, et a effectué un travail de mémoire avec son second livre L'enseigne 1944. Ces deux ouvrages sont disponibles à la municipalité de Marcolès.
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Le chapitre connaît alors plus de deux siècles d'existence dans une sérénité relative, si l'on omet les bouleversements de la fin du XVIe siècle, liés aux affrontements entre catholiques et protestants.
L'institution est bien implantée dans la ville, ayant conservé bons nombre de privilèges et ses dignitaires jouissent des honneurs dus à leur fonction.
Le chapitre d'Aurillac connaît avec la révolution le sort de tous les chapitres de France. La constitution civile du clergé du 12 juillet 1790 supprime en effet tous les chapitres et communautés religieuses.
C'est donc à une connaissance approfondie et nuancée d'un pan de l'histoire important pour la ville d'Aurillac, que Béatrice Fourniel convie non seulement les spécialistes de l'histoire des institutions religieuses, mais aussi un large public cultivé.
L'ouvrage de Béatrice Fourniel le Chapitre Saint Géraud d'Aurillac (1561-1790) paraitra en février 2011. Vous pouvez souscrire au prix de 20 Euros (retrait au siège de la Société de la Haute Auvergne) ou 25 Euros pour un envoi par la poste avant le 31 janvier 2011.
Une conférence de présentation de l'ouvrage par l'auteur, est organisée le samedi 26 février 2011 au siège de la SHA - 12 rue Vermenouze, 15000 Aurillac.
Bulletin de Souscription
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L’ouvrage Saint-Géraud d’Aurillac. Onze siècles d’histoire a été primé par l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand
En 2009, à l’occasion du 11e centenaire de la mort de saint Géraud, l’Association des amis du patrimoine de la Haute-Auvergne avait publié un cahier intitulé Saint-Géraud d’Aurillac. Onze siècles d’histoire.
Cet ouvrage collectif a été récompensé par le prix « Grellet de la Deyte » 2010 de l’académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont. Fondée au XVIIIe siècle, cette académie décerne chaque année plusieurs prix. Le prix Grellet de la Deyte, d’une valeur de 500 euros, valorise des recherches historiques sur l’Auvergne ou le Velay.
Le prix a été remis aux deux auteurs présents, le 19 janvier 2011, en
Fondée par Saint-Géraud à la fin du IXe siècle, l’abbaye connut six phases de construction ; si elle conserve quelques traces romanes remarquables, elle est essentiellement gothique et néo-gothique. Les phases de reconstruction des XVe, XVIIe et XIXe siècles sont mises en valeur par des documents inédits (archives notariales et archives de
L’association des amis du patrimoine de la Haute-Auvergne a publié ses quatre premiers cahiers sur le château de Pesteils, les églises de Bredons et de Carlat et sur l’abbatiale Saint-Géraud. Le cahier n° 5, qui sortira au printemps 2011, sera consacré par Guilaine Pons aux peintures des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles conservées au musée Alfred Douët de Saint-Flour.
E. Bouyé, V. Breuil, L. Gerbeau, G. Pons, Saint-Géraud d’Aurillac. Onze siècles d’histoire, Aurillac, 2009, 254 pages, illustrations couleur, 20 euros. Disponible en librairie ou au siège de l’association (A.A.P.H.A. B.P. 719 15007 Aurillac cedex).